Excursion à travers les montagnes monténégrines, aux routes aussi sinueuses qu’étroites, qui garantissent des émotions fortes aux passagers des bus. Arrêt dans la vieille ville de Kotor puis retour à Petrovac.
Comme je me suis reveillé aux aurores, j’en profite pour faire un petit tour sur la plage.
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La baie de Petrovac vue depuis la route de montagne.
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Le Monténégro ne dispose que d’une seule ligne de chemin de fer, construite à l’époque de l’ex-Yougoslavie. Il serait maintenant impensable d’en construire d’autres, le pays ayant du mal à financer l’entretien de la ligne existante.
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Le mausolée du roi Nicolas Ier Petrovič Njegoš à Cetinje, l’ancienne capitale.
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Il abrite le tombeau du roi Nicolas Ier et de son épouse.
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La petite chapelle est richement décorée de plusieurs icônes et fresques, dans la tradition orthodoxe.
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Elles sont toutes remarquablement conservées.
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Nous nous dirigeons ensuite vers l’ancien palais royal, aménagé en musée, où il est -ahem- interdit de faire des photos. Il s’agit ici d’un portrait du roi Nicolas Ier.
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Et une sculpture du temps de sa jeunesse.
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Retour sur la route de montagne, où heureusement nous n’avons pas rencontré de problème technique.
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Niveau 1 : Croiser une Fiat 500 sur une route de Montagne. Facile, comme disait notre guide Radenko : « Les voitures ça ne compte pas ».
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Niveau 2 : Plus dur, croiser un car, sur la même route. C’est une histoire de 10cm mais ça passe.
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Niveau 3 : Piller juste en face d’un autre bus, derrière un virage. Pas de problème, notre chauffeur Goran assure.
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Niveau 4 : Croiser un car alors que la route n’est faite que d’épingle à cheveux. A force de manuvres, nous sommes passés – salve d’applaudissements pour le chauffeur du car.
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Heureusement la route est bien entretenue.
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Le paysage semblerait presque lunaire par moment, s’il n’y avais pas d’arbre pour s’accrocher à la roche.
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A coté du restaurant, une carte des environs (nous n’avons pas suivi le tracé en rouge, mais on peut y voir Centinje et Kotor, notre prochaine destination).
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Les plaines sont rares et presque toujours habitées.
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Les bouches de Kotor, ville portuaire et ancienne place forte vénitienne.
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La ville est enchâssée au fond du fjord le plus au sud de l’Europe, de l’autre coté du massif montagneux, on peut distinguer la piste de l’aéroport de Tivat sur la gauche.
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La muraille de Kotor n’est pas forcément facile à voir, étant de la même couleur que les rochers sur lesquels elle s’agrippe.
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On peut l’apercevoir sur la droite et se faire une idée du travail qu’a dut être son édification.
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L’entrée de la vieille ville de Kotor, toujours bien gardée.
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Au pied de la tour de l’horloge, le pilori de la ville. La vieille ville est classée à l’inventaire du patrimoine mondial par l’Unesco, et de ce fait est parfaitement conservée.
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L’église catholique dédiée à Saint Tryphon (oui, comme le professeur Tournesol).
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Les murs recouvers de fresques n’ont malheureusement pas resisté aux guerres, tremblements de terre et assauts du temps. Cependant l’église recèle bien d’autres richesses.
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Retour dans les rues de Kotor.
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Je me suis d’abord demandé pourquoi tant de chats montaient la garde au coin de cette ruelle…
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Mais l’explication est assez évidente.
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Les remparts de la vielle ville. Au premier plan, un pilier de pont, vestige du premier passage détruit lors du tremblement de terre de 1979.
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Retour à l’hotel, où l’équipe d’animation donne de sa personne pour divertir les estivants.
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Un petit tour à l’extérieur une fois la nuit tombée peut réserver de bonnes surprises.
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